top of page
Bio

Juliette Rigondet

Après avoir goûté à l’enseignement (philosophie) puis collaboré pendant quinze ans, en tant que journaliste, à la revue L’Histoire, j’ai ressenti le besoin de me consacrer à une activité strictement littéraire.

J’ai suivi pour cela une formation pour animer des ateliers d’écriture littéraires (à Aleph, à Paris), puis j’ai quitté L’Histoire, en 2015, afin de partager mon temps entre l’écriture et l’accompagnement d’auteurs, en herbe ou confirmés, à travers différents types d’ateliers d’écriture, dans différents lieux (organisme spécialisé dans ce domaine, association culturelle, CE, université, collège…)

 

J’ai publié entre temps deux récits : Le Soin de la terre (Tallandier, 2016) et Un Village pour aliénés tranquilles (Fayard, 2019). 

Je suis en train de terminer un roman, genre qui était mon premier terrain d’écriture (j’en ai deux dans mes tiroirs, qui ont intéressé de près deux éditeurs mais n’ont finalement pas été publiés).

Je continue à collaborer pour la revue L’Histoire en écrivant des portraits (d’historiens, d’écrivains, de cinéastes…). Parmi eux : l’historienne de l’art Laurence Bertrand-Dorléac, l’écrivain Jean Rouaud, l’historienne Annette Becker, l’essayiste Emmanuel de Waresquiel, le cinéaste Rithy Panh.

 

J’anime des ateliers d’écriture depuis 2016. Pour tous types de publics : auteurs débutants, confirmés, étudiants, collégiens ou lycéens lors de résidences d’écrivain…

portrait Ju.tiff
un-papillon-dans-le-rétroviseur_logos_Plan de travail 1.png

©Antoine Bonfils

Retrouvez moi sur linkedin
  • LinkedIn
Mes publications

Mes publications

UN VILLAGE POUR

ALIÉNÉS TRANQUILLES

(Fayard, 2019, réédition en Italie prévue en 2024)

Présentation

À la fin du XIXe  siècle, face à la faillite de l’asile où l’on retient, plus qu’on soigne, les «  aliénés  » dans des établissements surpeuplés, des psychiatres réfléchissent à une solution alternative. Pourquoi ne pas faire sortir de ces hôpitaux les «  incurables tranquilles  » en les installant, contre rétribution, dans des familles, à la campagne  ?
Le conseil général de la Seine décide, en 1891, de tenter l’expérience. Un an plus tard, la petite ville de Dun-sur-Auron, dans le Cher, est choisie pour accueillir, «  à titre d’essai  », la première «  colonie familiale pour aliénés  » en France. L’essai est si concluant que le nombre de familles prêtes à héberger des patients augmente de façon exponentielle. En 1913, la colonie de Dun compte plus de 1  000  malades mentaux pour environ 4  000  habitants. Appelé aujourd’hui «  Accueil familial thérapeutique  », ce mode de soins existe toujours à Dun, même si les patients y sont moins nombreux qu’autrefois.
En s’appuyant sur les archives hospitalières et sur des témoignages de patients, de familles d’accueil, de villageois, Juliette Rigondet raconte l’histoire de ce lieu à part dans la psychiatrie française et reconstitue l’existence de ces hommes et de ces femmes qui ont fait partie, jusqu’à leur mort, de la vie quotidienne des Dunois. Elle nourrit ainsi la réflexion sur ce que notre société fait des «  fous  » et de l’Autre.

UPDLR_mockup_un-village-pour-alienes-tranquiles copie.png

LE MASQUE ET LA PLUME

Jérôme Garcin

« Un livre-enquête absolument passionnant. »
UPDLR_mockup_le-soin-de-la-terre.png

LE SOIN DE LA TERRE

(Tallandier, 2016)

Présentation

Deux hommes seuls au milieu des champs. C'est leur métier, et leur vie. De l'aube au crépuscule, bercés par le son de la radio ou du moteur de leur tracteur - un œil vers le ciel, un autre sur la terre qu'ils palpent et auscultent comme des médecins. Car ces deux-là, rares dans ce coin du Berry, ont choisi de pratiquer l'agriculture biologique. Il leur faut prendre soin de la terre, la faire vivre autrement en l'assainissant, en la respectant, s'en faire une amie. L'un, François, est mon frère. L'autre, Joël, travaille avec lui depuis quatorze ans. à travers eux comme à travers le devenir de la ferme où j'ai été élevée, je raconte ce que c'est que grandir, vivre et travailler en pleine campagne, loin de « tout » et de tous, en contact permanent avec la nature et sans jamais oublier, par ses mues incessantes, le temps qui passe.

Collaboration
un-papillon-dans-le-retroviseur_ateliers-ecriture_mockup-magazine-louvre.png

Collaboration

Dans le catalogue de l’exposition « Les Choses – Une histoire de la nature morte » (Musée du Louvre, 12 octobre 2022-23 janvier 2023)

sous la direction de Laurence Bertrand-Dorléac

coédition Liénart/musée du Louvre éditions

écriture de la nouvelle intitulée « Rescapé ».

bottom of page